Description
Pas étonnant que votre boomerang ne décolle pas, il vous faut un boomerang spécialement conçu pour les gauchers . Un peu de vent, un peu d’espace et ce sont des heures d’amusement en plein air . Inspirez-vous des épreuves de compétition décrites plus bas pour animer votre groupe d’amis.
Expérience de Kevin : A partir de quelques lancers, le boomerang commence à faire une rotation pour revenir vers moi. Facile à utiliser, fini le casse-tête !
Descriptif :
Le modèle YALLINUP est un boomerang tripale. Son vol est très circulaire, très planant, il est facile à rattraper. C’est un excellent boomerang pour s’initier sans se casser la tête. Il peut être utilisé pour s’initier au jonglage . Il descend en chandelle à la fin du vol .
Le nom Yallingup signifie « l’endroit des grottes » dans le dialecte aborigène des Wardandi .
Caractéristiques :
- À partir de 13 ans
- Fabriqué en bouleau aviation
- vent léger
- distance 20 à 25 mètres
- Envergure : 220 mm
- Poids : 38 grammes environ
Fabrication : Française.
Ces boomerangs sont des pièces uniques faites à la main. Ils sont décorées d’après des motifs originaux inspirés de la très mystérieuse culture aborigène Australienne
Wallaby Boomerangs est un atelier éco-citoyen qui, pour la première fois au monde, innove en concevant des boomerangs de sport fabriqués à la main, à partir d’une ressource naturelle renouvelable: le bambou.Sa vocation est de concilier protection de l’environnement et pratique d’une activité physique saine et sans artifice, en associant design moderne et savoir–faire traditionnel, et en encourageons aussi un mode de consommation écologiquement responsable.Fondée par le Franco-Canadien Stéphane Marguerite en 1993, son expérience acquise lors de participations à de nombreuses compétitions nationales et internationales lui a permise de développer une expertise reconnue pour développer des modèles fiables et performants. Il repousse constamment les frontières du design afin de satisfaire les attentes de ces clients et ceci quel que soit leur niveau d’expérience. Ses produits sont reconnus mondialement et réputés pour leur fiabilité et leur durabilité.Stéphane s’engage aussi à :
1- Garantir des produits de qualité supérieure, respectueuse de l’environnement, de la nature, et à valoriser le savoir faire d’un artisan en métier d’Art qui fabrique parallèlement ses produits en France et au Québec.
Contribuer à la préservation de l’environnement, en privilégiant la productivité des ressources naturelles, en améliorant continuellement la qualité écologique des boomerangs pour réduire l’empreinte écologique.
Démontrer par ses actions un engagement d’équité sociale, d’éduquer et sensibiliser les consommateurs aux enjeux du développement durable.
Travailler de manière à respecter la tradition culturelle aborigène et en contribuant à mettre en valeur leur art ancestral.C’est donc par respect pour les gardiens de cet objet mythique, les aborigènes d’Australie, que j’ai donc naturellement choisi de donner chaque année un pourcentage de mes ventes de boomerangs pour aider une de ces communautés “down under”.
Stéphane Marguerite conçoit des boomerangs depuis 1981. Sa formation acquise en Europe, ainsi que sa participation à de nombreuse compétitions internationales depuis cette date lui ont permis d’acquérir une expertise et une connaissance reconnue pour développer des modèles fiables et inoffensifs.
Le boomerang n’est pas un jouet mais un article de sport qui doit être conçu sérieusement afin de procurer à celui qui le possède la satisfaction de retour de l’objet, le but de cette discipline.
Alors, laissez-vous séduire et lancez-vous!
Historique :
On a toujours tendance à croire que le boomerang était une arme de chasse.Il n’était en fait qu’un leurre pour effrayer les groupes d’oiseaux qui se rabattaient alors dans les filets que les aborigènes brandissaient dans leur trajectoire.
Son ancêtre le killing-stick (bâton à tuer, très lourd, environ 300 grammes, sans profil aérodynamique et sans retour même s’il ratait sa cible) était lui lancé horizontalement et parvenait à assommer un animal situé à proche distance. Contrairement au killing -stick, le boomerang plus léger et plus profilé tel une aile d’avion, revenait plus ou moins précisément vers le lanceur, et servait déjà de jeu dans beaucoup de civilisations anciennes.
Les deux objets sont souvent confondus et mises à part leurs origines Australiennes, Européennes ou Égyptiennes (tel qu’en témoigne la collection de boomerangs découverte dans la tombe de Toutankhamon) ils n’ont rien en commun.
En aucune façon le boomerang ne touchait quoi que ce soit et c’est pourquoi les Australiens s’en sont inspirés pour en tiré la première règle de ce sport, l’épreuve de précision, un lancer parfait avec un retour au point de départ.
En 1969 est né l’Australian boomerang association. Elle créera les principales épreuves que l’on connait aujourd’hui. Par la suite les Américains le découvriront et inclueront de nouvelles disciplines telles que le M.T.A, le doubling, le free-style, et les épreuves par équipes. Le phénomène boomerang touchera l’Europe à son tour et le Japon ensuite. La première coupe du monde à eu lieu en 1988 en Australie.
Compétition :
Une dizaine d’épreuves différentes existent, mais les plus courantes sont:
- Le Fast-catch: rattraper 5 fois de suite son boomerang dans un minimum de temps.
record du monde: 14.6 secondes. - L’endurance: rattrapage de son boomerang le maximum de fois en 5 minutes.
record du monde: 80 rattrapages. - L’Australian round: lancer son boomerang le plus loin possible, maximum 50 mètres, retour le plus près possible du centre du lancer.
- Le M.T.A (maximum de temps en l’air): chronométrage du vol du boomerang entre le lancer et le rattrapage;
record du monde: 2 minutes 59 secondes. - Et aussi le jonglage, le freestyle, le doubling ( 2 boomerangs lancés simultanément), ainsi que quelques épreuves par équipes telle que le relais.